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„Immer vorne bei neuen Technologien“

Rédigé par FAIRTIQ | 12 décembre 2020

VVO Interview- « Toujours en tête lorsqu’il s’agit de nouvelles technologies »

Début septembre, l’app FAIRTIQ a officiellement été lancée au sein de la communauté tarifaire Verkehrsverbund Oberelbe (VVO).

L’occasion idéale pour demander à Burkhard Ehlen, directeur de VVO, comment se sont passés les 100 premiers jours avec la nouvelle app de billetterie à Dresde et environs. 

 

FAIRTIQ : Monsieur Ehlen, comment se sont passés vos 100 premiers jours avec FAIRTIQ ?  

Burkhard Ehlen : Jusqu’à présent, le trajet avec FAIRTIQ est une réussite ; l’app fonctionne parfaitement, le système est stable et il n’y a aucun problème technique. L’inscription est un point particulièrement positif : en comparaison avec d’autres systèmes, l’app FAIRTIQ est simple à utiliser, rapide et pratique.

 

FAIRTIQ : Pour quelles raisons votre communauté tarifaire est-elle la première de Saxe qui a choisi d’utiliser FAIRTIQ ? 

Burkhard Ehlen : Nous nous efforçons d’être toujours en tête lorsqu’il s’agit de nouvelles technologies. Nous appliquons une stratégie « multi-app » et de nombreuses applications sont déjà en service au sein de notre communauté. Mais la technologie « Check-in/Check-out » nous manquait encore, et nous avons maintenant rattrapé notre retard.  

 

FAIRTIQ : Et comment se passe la collaboration avec une start-up ?

Burkhard Ehlen : À nos yeux, FAIRTIQ – de par son succès en Suisse et en Autriche – n’est plus une start-up, mais un partenaire fiable.

 

FAIRTIQ : Comment est-ce que votre clientèle accueille cette offre jusqu’à présent ? 

Burkhard Ehlen : L’accueil positif, aussi bien de la part de nos clients que des médias, nous confirme que nous avons visé juste avec l’app FAIRTIQ en proposant à notre clientèle une app pour transports en commun simple à utiliser. Cette impression est renforcée par le fait que de nombreux clients émettent des propositions constructives visant à intégrer des fonctionnalités supplémentaires dans l’app. À l’heure actuelle, environ 7500 personnes voyageant au sein de notre réseau se sont enregistrées dans FAIRTIQ, et 1250 d’entre elles ont effectué un trajet au cours des quatre dernières semaines. Cela démontre que l’app FAIRTIQ a rapidement su gagner en popularité auprès de nos usagers dans la compétition entre les diverses applications de billetterie.

 

FAIRTIQ : Quelles fonctions vos clientes et clients apprécient-ils particulièrement ?

Burkhard Ehlen : La facilité d’utilisation et le processus simple d’inscription dans l’app sont particulièrement appréciés, tout comme le fait qu’il n’est pas nécessaire de connaître le système tarifaire en vigueur. 

 

FAIRTIQ : Comment expliqueriez-vous FAIRTIQ à des personnes qui ne sont pas des spécialistes de la technologie ou qui n’utilisent pas régulièrement d’app ?

Burkhard Ehlen : En quelques mots : glisser le bouton, monter et c’est parti !

 

FAIRTIQ : Quelles sont les conséquences de la crise du coronavirus sur les transports publics de Dresde et environs ?

 Burkhard Ehlen : Les entreprises enregistrent environ 20 % d’usagers en moins. Pour ce qui est des revenus, nous présentons un déficit de près de 30 millions d’euros jusqu’à la fin de l’année. Heureusement, nos abonnés sont restés fidèles : la majorité de nos clients réguliers a continué à prendre le bus et le train. Ainsi, nous sommes convaincus que l’évolution positive que nous avons constatée avant la pandémie va se poursuivre. C’est la raison pour laquelle le climat et la mobilité devront être abordés en priorité après la crise du coronavirus.

 

FAIRTIQ : Pensez-vous que le coronavirus, mais aussi les évolutions telles que la numérisation, vont modifier les transports en commun en Allemagne, à moyen voire long terme ? 

Burkhard Ehlen : La pandémie de coronavirus ne modifiera les comportements que de manière temporaire, étant donné que le retour à la voiture n’est pas une alternative durable du point de vue du climat. Nous remarquons bien sûr les effets du boom du télétravail et les chiffres resteront élevés. Toutefois, cela ne remplacera pas les contacts sociaux et la créativité des échanges en face à face au sein des entreprises.