1 octobre 2019

FAIRTIQ et ses mythes — comment tordre le cou aux idées reçues | FAIRTIQ

FAIRTIQ et ses mythes — comment tordre le cou aux idées reçues | FAIRTIQ

FAIRTIQ et ses mythes — comment tordre le cou aux idées reçues

Chez FAIRTIQ, nous sommes parfois surpris des histoires qui circulent sur le fonctionnement de notre entreprise ou de notre app. Nous avons donc réuni une sélection des plus grands « mythes » nous concernant ainsi que quelques faits bien concrets afin de tordre le cou une fois pour toutes à ces idées reçues :

Du point de vue de nos utilisateurs :

Idée reçue no 1 : Si j’oublie de signaler la fin de mon trajet, je devrai payer plus

Un oubli est si vite arrivé. Un vieil ami qui nous interpelle, des courses de dernière minute à faire ou simplement la tête ailleurs et voilà : on oublie de terminer son trajet. Nous sommes tous passés par là. C’est pourquoi FAIRTIQ vous envoie un message (assurez-vous d’autoriser les notifications push) pour vous rappeler d’appuyer sur le bouton « stop ».

Et si cette notification ne parvient pas à attirer votre attention, nos algorithmes toujours plus perfectionnés déterminent automatiquement quel arrêt a été votre dernier.

Enfin, si tous ces efforts ne suffisent pas, notre service client est là pour vous : il procédera rapidement aux corrections et remboursements nécessaires. Vous pouvez le contacter directement via l’app jusqu’à un an après votre voyage. 

En réalité : FAIRTIQ ne vous facture pas davantage lorsque vous oubliez de mettre fin à votre trajet. En fait, nous faisons tout notre possible pour nous assurer que les utilisateurs paient pour le service utilisé — ni plus, ni moins.

Envie d’en savoir plus sur le travail de notre service client ? Ceci devrait vous intéresser. 

Idée reçue no 2 : FAIRTIQ fait du profit en vendant les données relatives à ses utilisateurs à des tiers

Aujourd’hui, on entend sans cesse dire que nos données valent plus que de l’or. Cette idée en réjouit certains, mais elle en inquiète aussi beaucoup d’autres, qui craignent pour leur vie privée. Mettons les choses au clair : FAIRTIQ utilise les données générées par ses utilisateurs pour calculer leurs voyages et facturer les billets adéquats. Nous regroupons également des données relatives aux trajets (que nous avons préalablement anonymisées) afin d’améliorer notre produit et de le rendre encore plus simple d’utilisation. Enfin, nous partageons certaines données concernant les passagers (sous forme agrégée et anonymisée) avec les entreprises de transports publics afin de leur permettre d’améliorer leurs services — mais uniquement avec l’autorisation de nos utilisateurs.

En revanche, nous ne vendons pas de données relatives aux passagers à des tiers. 

Nos utilisateurs ne recevront jamais de publicités intempestives de sociétés tierces ou quoi que ce soit d’autre sur notre app. FAIRTIQ respecte entièrement les dispositions du règlement de l’UE sur la protection des données (GDPR) et la législation suisse en la matière.

En réalité : Bien que celles-ci soient un aspect central de notre activité, nous n’oserions jamais abuser de la confiance de nos utilisateurs en employant leurs données à d’autres fins que pour faciliter l’utilisation des transports publics. 

Pour en savoir plus sur la manière dont nous protégeons nos données, consultez l’article de notre CTO sur le sujet.

Du point de vue de nos partenaires :

Idée reçue no 3 : FAIRTIQ veut bouleverser le marché des transports publics et s’approprier le point de contact entre les entreprises de transport et les passagers

S’il est vrai qu’en tant que start-up, nous pensons qu’utiliser les transports publics devrait être aussi simple que possible, nous ne sommes en rien un géant de la technologie avide de contrôler les échanges entre entreprises de transport et usagers. Bien au contraire : nous sommes une société basée en Suisse et en Europe, qui croit fermement à l’idée d’utiliser des solutions locales taillées à la mesure des besoins locaux. De fait, FAIRTIQ n’aurait jamais vu le jour si notre optique n’avait pas été partagée par trois entreprises de transport visionnaires : Transports publics fribourgeois (TPF), Luzerner Verkehrsbetriebe (VBL) et Rhätische Bahn (RhB).

Saviez-vous que nombre d’entre nous ici, chez FAIRTIQ, ont d’abord travaillé pour des entreprises de transports publics ? En tout, notre équipe cumule près de 150 ans d’expérience dans ce domaine ! Notre modèle économique consiste à travailler en collaboration avec les entreprises de transport et notre app est un outil (parmi d’autres) permettant de gérer les opérations de ces dernières d’une manière moderne et axée sur les passagers. D’ailleurs, nous partageons le même but : amener les gens à utiliser davantage les transports publics et à se déplacer d’une manière plus durable.

En réalité : FAIRTIQ ne souhaite ni bouleverser le mode de fonctionnement de la branche ni s’approprier le point de contact entre voyageurs et entreprises. Notre but est de travailler en collaboration avec les différents acteurs locaux afin de rendre les transports publics plus faciles d’utilisation.

Idée reçue no 4 : FAIRTIQ permet à ses utilisateurs de frauder impunément

Dans le domaine des transports publics, la fraude et les abus ne sont pas des phénomènes récents et vont de la contrefaçon de billets papier au simple pari de voyager sans se faire prendre. De fait, les contrôles ne pouvant être que ponctuels, il est probable que quelques personnes parviennent à s’en tirer ainsi.

Mais s’il est vrai que la billetterie automatique peut ouvrir la porte à de nouvelles façons de frauder, elle offre aussi de nouvelles armes pour les combattre. Chez FAIRTIQ, nous prenons cette question très au sérieux. Nous avons donc créé une équipe spécialement dédiée à l’amélioration de notre système de détection des fraudes et à la gestion des abus.

Nous avons d’ores et déjà implémenté de nombreuses solutions techniques visant à limiter les possibilités de fraude. Nous avons par exemple ajouté des éléments mobiles dans l’écran où s’affichent les billets pour éviter que ces derniers puissent être modifiés et l’on ne peut désormais commencer ou terminer un trajet que lorsqu’on se trouve à un arrêt (et non lorsqu’on se déplace à grande vitesse), ce qui permet de réduire les cas où le prix facturé est plus bas qu’il ne le devrait ou où la personne prétend à des réductions ou des abonnements qu’elle ne possède pas réellement. Grâce aux nombreuses données fournies par nos utilisateurs, nos algorithmes sont entraînés à détecter les anomalies dans le comportement des voyageurs avec plus d’efficacité que le plus aguerri des agents de contrôle.

En réalité : FAIRTIQ ne laisse pas ses utilisateurs frauder impunément. Bien au contraire : il est dans notre intérêt de conserver la confiance de nos partenaires en améliorant la fiabilité de notre système, en donnant des avertissements aux usagers qui ont un comportement anormal ou suspect et en travaillant main dans la main avec les personnes en charge des contrôles afin d’améliorer la détection des fraudes. 

Les utilisateurs qui enfreignent nos conditions d’utilisation sont exclus de l’app FAIRTIQ.